L’islam, le poison qui rend fou…
Dans « Le Lotus Bleu », qui se déroule en Chine, de nombreux amis de Tintin sont frappés d’une flèche empoisonnée dans le cou, qui a pour spécificité de les rendre fous dans les secondes qui suivent. On se demande si ce n’est pas ce qui est arrivé à nombre d’élites françaises, à qui l’islam a l’air d’avoir fait perdre la raison.
L’ISLAM, LE POISON QUI REND FOU !
Imaginez une secte satanique forte de plusieurs millions d’adeptes, sur le territoire français. Supposez que dans les textes sacrés, le gourou impose à ses ouailles des rites qui, 24 heures sur 24, tout au long de leur vie, guident leur quotidien. Pensez au conditionnement des disciples qui doivent ne pas transgresser les règles sacrées quand ils s’essuient le derrière, dans les toilettes, quand ils se nourrissent, quand ils font l’amour, quand ils doivent prier cinq fois par jour… Que dire du fait que les textes sacrés leur imposeraient de devenir maîtres du monde, de n’épouser que des membres de la secte, et de tuer tous ceux qui ne sont pas adeptes du gourou, sans oublier le droit de battre sa femme, d’avoir plusieurs épouses et même d’épouser des petites-filles…
On peut supposer, sans risque d’erreur, que tout ce que la France compte de laïques, de philosophes, de syndicalistes, de féministes, de juristes, de journalistes, d’écrivains, d’historiens et de politiques progressistes, se mobiliserait, alerterait nos compatriotes, et chercherait à protéger notre société d’un tel péril mortel.
Mais si la secte s’appelle islam, non seulement rien de tout cela ne se passe, mais c’est le contraire qui se déroule. Toutes les bonnes âmes sont mobilisées, non pas pour alerter la population contre l’islamisation de la France, mais pour montrer du doigt les « méchants », forcément racistes, qui ont ce courage. L’islam serait-il, à l’instar des aventures de Tintin, le poison qui rend fou ?
LA DEMOCRATIE VERSION PARTI DE GAUCHE
- Comment expliquer autrement l’acharnement pathologique du militant de Parti de gauche, Alexis Corbière, qui, engageant son parti et le candidat Jean-Luc Mélenchon, consacre une énergie ahurissante à faire interdire Riposte Laïque du salon du Livre du Bnai Brith ? Faut-il rappeler à ce personnage, qui se dit laïque, qui prétend militer à la Libre Pensée (défense de rigoler) présidée par Marc Blondel, que c’était l’habitude de certains intégristes catholiques du Front national d’interdire de bibliothèque des ouvrages jugés blasphématoires, et, qu’en faisant interdire « Les assises sur l’islamisation de nos pays », et leurs auteurs d’un salon littéraire, il se met à ce niveau ?
- Comment expliquer autrement l’incroyable acharnement de certains franc-maçons qui, sous la plume du nommé Jean-Moïse Braitberg, consacrent, dans la revue « Franc-Maçonnerie Magazine » dix pages à démolir notre journal, en s’appuyant sur les témoignages d’autres franc-maçons comme Marc Blondel, Bernard Teper et le grand maître du GODF, Guy Arcizet ? Comment une revue comprenant l’honorable Henri Pena Ruiz dans son comité de rédaction peut-elle couvrir le dérapage raciste de Jean-Moïse Braitberg contre Bruno Larebière ?
- Comment expliquer autrement l’ahurissante complaisance d’un Marc Blondel, président de la Libre Pensée, qui ose écrire, dans cette revue :« On dit islam, et on pense arabe », se faisant le porte-parole des islamistes qui réclament un délit d’islamophobie, amalgamé à du racisme. Pourquoi un tel acharnement contre la religion catholique, quand, en France, la moyenne d’âge des curés est de 71 ans, et une telle complicité avec la « religion des pauvres et des opprimés »… financée par les pétrodollars des pays les plus anti-démocratiques de la planète ? Comment un responsable laïque peut-il juger « raciste » la loi contre les signes religieux à l’école, votée en 2004 ? Comment peut-il se battre de toutes ses forces contre la loi sur le voile intégral, allant même, dans un débat avec Pierre Cassen, jusqu’à comparer l’interdiction de la burqa, en France, en 2010, avec l’interdiction des mini-jupes par les colonels grecs en 1974 ?
- Comment un Bernard-Henri Lévy, BHL pour les intimes, peut-il, avec sa créature Caroline Fourest, encenser Ayaan Hirsi Ali, et qualifier Geert Wilders de raciste d’extrême droite, alors qu’ils militaient dans le même parti, au Parlement hollandais, et que la jeune femme d’origine somalienne va encore plus loin que le président du Parti des Libertés dans sa critique de l’islam ? Comment le prétendu philosophe peut-il embarquer la France dans une intervention en Libye qui a pour issue de livrer ce pays à des milices islamistes qui assassinent les noirs et qui imposent la charia et la polygamie à l’ensemble de la société, comme le fait remarquer Bernard Lugan ?
http://bernardlugan.blogspot.com/2011/10/la-libye-sous-le-pouvoir-des-milices.html
- Comment un Mathieu Guidère, qui se présente lui-même comme l’homme qui connaîtrait le mieux l’islam en France, peut-il courir les plateaux de télévision et multiplier les interviews dans les journaux en affirmant que la polygamie permettra, en Libye, de protéger les veuves contre la misère et la prostitution, alors que, comme le démontre Hamdane Ammar dans ce numéro, elle est partie intégrante de l’islam, et justifiée par la vie du Prophète lui-même ? Comment un Gilles Kepel, autre islamologue souvent invité sur les plateaux de télévision, peut-il condamner le vote des Suisses contre les minarets, en 2009, et soutenir, en nous faisant le coup de la charia modérée, le vote des Tunisiens qui donnent le pouvoir au parti islamiste Ennahda ? Fascination morbide ?
http://ripostelaique.com/l%e2%80%99express-guidere-et-kepel-au-secours-de-la-charia.html
- Comment le ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé, peut-il parler des Frères musulmans, qui, en Égypte, entendent imposer, eux aussi, la charia à l’ensemble de la population, comme d’une organisation musulmane respectueuse des règles démocratiques, avec laquelle il serait possible d’ouvrir un dialogue ? Comment le même, maire de Bordeaux, peut-il, comme le montre Joachim Véliocas dans son remarquable livre « Ces maires qui courtisent l’islamisme »,dérouler le tapis rouge au recteur UOIF Tareq Oubrou, qui ne cache pas son objectif, par la stratégie des petits pas, d’imposer la charia, un jour, à la France ? Comment a-t-il pu cautionner l’intervention française en Libye, et la victoire des islamistes ?
EN 2O12, VOTEZ POUR LES CANDIDATS CHARIA MODEREE
- On pourrait parler de Martine Aubry et de sa connivence avec Amar Lasfar et la Ligue islamique du Nord, de l’anti-clérical Jean-Luc Mélenchon qui ne voit aucun problème en France avec l’islam, de Nicolas Sarkozy qui renvoie dos-à-dos islamophobie et antisémitisme, d’Éric Raoult qui réclame une loi contre l’islamophobie par la réintroduction du délit de blasphème, de Daniel Vaillant qui soutient les prières musulmanes illégales dans son arrondissement, de Manuel Valls qui réclame la fin de la loi de 1905, du financement public des mosquées, de Cécile Duflot à qui le conseiller en communication interdit de dire que son plat préféré est le confit de porc, d’Olivier Besancenot présentant une candidate voilée aux élections régionales, du maire PCF d’Echirolles défendant le voile d’une de ses conseillères municipales, de François Bayrou faisant allégeance à l’Union des Associations Musulmanes du 93, avant les présidentielles de 2007, de Ségolène Royal rompant le jeune du ramadan à Marseille, de François Hollande se prosternant devant la fête de l’Aïd el Kebir et de Delanoë fêtant le ramadan à la Mairie de Paris, tout en s’apprêtant à développer les carrés musulmans dans les cimetières…
On pourrait également s’interroger sur l’attitude des « chiens de garde » médiatiques. Askolovitch, Plenel, Joffrin, Fourest et tant d’autres, aussi complaisants avec la religion d’amour, de tolérance et de paix que haineux avec Riposte Laïque..
On pourrait se demander pourquoi les plateaux de télévision sont envahis par des laïques islamo-complaisants, comme Caroline Fourest, Marc Blondel, Henri Pena-Ruiz ou Catherine Kinzler, et jamais par des laïques plus critiques sur l’islamisation de la France.
On pourrait se demander pourquoi des maires comme Jacqueline Eustache-Brinio et Xavier Lemoine(UMP), Arnaud Lafon (Modem), voire André Gerin (PCF), qui, dans leur action quotidienne, résistent difficilement à l’offensive de l’islam dans leur commune, ne sont jamais invités à en expliquer les modalités à leurs concitoyens.
On pourrait se demander pourquoi nous avons sur les plateaux de télévision des islamologues amoureux de l’islam comme Gilles Kepel ou Mathieu Guidère, et jamais un René Marchand ou une Anne-Marie Delcambre ? Pourquoi aussi souvent Tariq Ramadan, et jamais Pascal Hilout ? Pourquoi les Boubakeur et autres Moussaoui, et jamais Ayaan Hirsi Ali, Chahdortt Djavann ou Wafa Sultan ?
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