« Salve festa dies! »
![]() |
|
Manquerait plus que les adeptes de l'agriculture biodynamique se mettent de la partie! Guerre des « Lunes » en prévision? Et si les poules faisaient la grève des pontes?
Nos temps sont difficiles. A ce train-là, le mot de « communautarisme » va vite devenir une injure et sera interdit...
Léon Areva, le 13 avril 2011
![]() |
Giovanni Bellini – La résurrection du Christ - |
EDUCATION L'Elysée aurait demandé l'organisation de sessions réservées aux étudiants juifs, selon Mediapart... Quelques jours après l'organisation du débat controversé de l'UMP sur la laïcité et la place de l'islam en France, Mediapart révèle ce mardi que l'Elysée aurait secrètement demandé à ce que des sessions d'examen pour les concours aux grandes écoles soient organisées spécifiquement pour des étudiants de confession juive, la nuit. En cause, selon le site d'information, le chevauchement entre les dates retenues pour les concours des Mines, des Ponts, de Centrale et de Supélec et la pâque juive, qui tombe cette année du 18 au 26 avril. La circulaire qui établit chaque année les dates à éviter pour raison religieuse ne mentionne pas ces dates. Contacté par 20Minutes, l'Elysée renvoie au ministère de l'Enseignement supérieur. Lequel explique que la pâque juive a été oubliée dans la fameuse circulaire et que deux solutions ont été envisagées. La première aurait été de reporter certaines dates des concours (les 20, 21 et 22 avril pour Mines-Pont et les 26, 27, 28 et 29 pour Centrale et Supélec) de quelques jours mais cela aurait entraîné des surcoûts pour tous les étudiants qui avaient déjà réservé train et chambre d'hôtel. La seconde piste envisagée est d'organiser un examen de manière décalée pour les étudiants de confession juive, un peu sur le modèle de ce qui se fait pour les étudiants ultramarins. Sur ce point, le ministère renvoie aux grandes écoles. Selon Mediapart, l'un des directeurs de ces grandes écoles a indiqué que lui et ses confrères étaient tous «vent debout» contre le dispositif, qui présentait des risques juridiques majeurs. En raison de débordements suscités par ce type d'article, nous sommes contraints de le fermer aux commentaires. Merci de votre compréhension. |
Un sujet explosif qui concerne l’élite des juifs pratiquants de France qui tentent de passer les concours des grandes écoles en pleines fêtes de Pessah. C’est un scoop de Mediapart : “Sur demande de l’Elysée, quelques étudiants juifs pratiquants pourront passer les concours d’entrée à des grandes écoles (Mines, Ponts, Centrale et Supélec) pour partie en dehors des sessions normales d’examen. Des sessions secrètes de nuit ont été prévues, avec un confinement préalable des candidats.”
Marie-Sandrine Sgherri dans Le Point.fr : » Selon le site Mediapart, l’Élysée a demandé à ce que des épreuves parallèles aux concours de certaines grandes écoles soient organisées à destination de candidats juifs pratiquants. En effet, les dates du concours commun Mines-Ponts, mais aussi de ceux de certaines écoles de commerce ou encore de l’ENS Cachan, se déroulent au moment de la Pâque juive, la semaine prochaine. L’organisation proposée par le Château est particulièrement abracadabrantesque : les candidats concernés devant rester confinés toute la journée du 20 avril au moment officiel de l’épreuve jusque dans la nuit où ils pourraient à leur tour composer. Rebelote le 26 avril. Le scénario est tordu. La publicité de ce concours réservé aux juifs pratiquants étant inenvisageable, on se demande bien comment les personnes intéressées auraient pu être averties, sauf par les autorités religieuses.
La semaine dernière, une source dans le milieu des grandes écoles avait alerté Le Point.fr de pressions qu’elle subissait pour organiser une telle session d’épreuves. Contrairement à ce qu’affirme Mediapart, la demande émanait bien de la communauté juive. Le rabbin Haïm Korsia, aumônier général de l’armée de l’air et proche de Nicolas Sarkozy, a utilisé son entregent pour faire avancer sa cause. Nous l’avions eu au téléphone la semaine passée, mais il avait nié le rôle de l’Élysée en la matière, se contentant de reconnaître avoir demandé un changement de date qu’on lui aurait refusé. “C’est le prix à payer pour sa foi”, avait-il conclu.
Sollicités aussi par Le Point.fr, les organisateurs du concours Mines-Ponts, la direction de Supélec, comme celle de l’école d’ingénieurs ENSTA avaient soit refusé de répondre aux questions, soit nié les interventions élyséennes.
D’après Mediapart, c’est un haut fonctionnaire du ministère de l’Enseignement supérieur, choqué du procédé, qui a révélé l’intervention de la Présidence de la République. »
source : IsraelValley
¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤



Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire