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jeudi 6 mai 2010
SI VOUS CRITIQUEZ LA PSYCHANALYSE,
VOUS DEVEZ ETRE ANTISEMITE !




EROS
La publication chez Grasset du "Crépuscule d'une idole" de Michel Onfray, a "déclenché" une fois de plus la ROUDINESCO, castafiore de la secte freudienne, qui nous rechante périodiquement l'air des bijoux de Sigmund :
Elle avait déjà accusé QUINQUIN (Président du Club de l'Horloge), en 2004, d'antisémistisme "masqué"...
Les critiques adressées à la Psychanalyse -comme à son fondateur- ne sont pas nouvelles:
Mon bon maître JY EYSENCK (Professeur à l'Université de Londres), avait déjà, en 1985 , dénoncé l'imposture de la psychanalyse, dans son livre "Decline and fall of the Freudian empire".
Il fut suivi dans cette démarche par, entre autres, DEBRAY-RITZEN , Jacques BENESTEAU, et les auteurs de l'ouvrage collectif "Le livre noir de la Psychanalyse".
J'adhère entièrement à leurs conclusions, et j'ai moi-même "dénoncé" la psychanalyse freudienne (mais non jungienne), à chaque fois qu'il m'en a été donné l'opportunité. Mais là n'est pas mon propos.
Tous ces auteurs ont, en leur temps, été accusés d'antisémitisme, par les Roudinesco, les Sibony, les Anatrella et autres psychanalystes de service qui squattent nos écrans de télévision et nous assènent quotidiennement leurs contre-vérités.
Oui, s'attaquer à Freud et à sa sacro-sainte psychanalyse, qu'il inventa avant tout parce qu'il manquait de charisme et n'arrivait pas à hypnotiser les "Blanche"* de la "haute" viennoise, c'est certainement s'attaquer au Judaïsme, dont les thèses freudiennes sont directement inspirées.
Les contemporains de l'auteur du "Traumdeutung" (1920), furent très choqués par ses théories, qu'ils considéraient comme pornographiques, voire anomistes.
Ils se trompaient profondément.
En réalité, la psychanalyse est intrinsèquement normative : elle n'envisage la fonction sexuelle que dans un contexte de procréation. Elle confond délibérément "sexualité" et "génitalité".
Et l'on pourrait donc reconnaître en Freud, le véritable fondateur du mouvement "Pro-Vie"...
C'est donc à tort que l'on a associé le "Freudisme" à la Libération sexuelle.
Bien qu'il fût athée (et même totalement a-spirituel, puisqu'il déclarait ne rien comprendre à ce qu'il appelait le "sentiment océanique"), Freud était bien juif,
et sa mémoire chromosomique incluait en particulier les écrits de Shaül de Tarse, élève de Gamaliel, qui transposa purement et simplement la morale tribale juive, dans ce qui devait devenir la morale sexuelle des pagano-chrétiens, c'est-à-dire la Sainte Eglise Catholique, Apostolique et Romaine, fondée en 324, lors du Concile de Nicée (Saint Pierre : connais pas !).
THANATOS
Oui, s'attaquer à la psychanalyse, c'est s'attaquer au Judaïsme, car la conception freudienne de l'Homme est avant tout "créationniste" :
Elle refuse de prendre en compte les thèses évolutionnistes de Darwin et de ses successeurs.
Elle ignore - voire combat - l'ETHOLOGIE HUMAINE et la socio-biologie (je considère également Boris Cyrulnik comme un imposteur).
La psychanalyse présuppose un homme "bon", créé à l'image de Dieu, se conformant instinctivement à ses Lois (décalogue), que les culs bénis ont abusivement rebaptisées "lois naturelles".Les "méchants" étant des "erreurs de la nature".
En réalité, ces "lois" n'ont rien de "naturel", car elles ne sont pas conformes à ce que l'on observe dans la "nature" : les animaux présentent des comportements sexuels variés, et sont, le plus souvent, ambisexuels.
Le mot "naturel" a été détourné de son sens par Saint Thomas d'Aquin, et l'est encore auourd'hui par ses épigones.
L'Ethologie humaine est donc l'antithèse de la psychanalyse freudienne, puisqu'elle recherche l'explication de certains comportements humains, non pas dans des théories fumeuses comme la "Triangulation Oedipienne" (voir l'Anti-Oedipe de Deleuze), mais dans l'héritage phylogénétique de nos ancêtres les primates.
On se lamente quotidiennement dans la presse bien-pensante de notre incapacité à contrôler les criminels dangereux, et les soi-disant "Experts" près les tribunaux,
comme cet abruti de Cyrille Canetti, qui s'est laissé prendre en otage, versent des larmes de crocodile et "regrettent" l'absence de progrès dans le traitement de la psycho-pathologie...
Mais ils sont tous "freudiens" - et la véritable responsable de cette stagnation, c'est justement la secte freudienne, qui interdit toute recherche dans des voies qui ne seraient pas "freudiennement" correctes, et qui se contente depuis plus d'un siècle de modifier la nosologie psychiatrique, en rebaptisant successivement ce que l'aliéniste britannique Pritchard avait nommé la "folie morale" (moral insanity), "Déséquilibre psychique", puis "Psychopathie", et enfin "Personnalité anti-sociale".
On ne pourra progresser dans ce domaine que lorsque l'on aura renoncé définitivement au modèle psychanalytique, basé sur des mythes formulés, il y a 3000 ans, par des juifs de cro-magnon (eux-même inspirés par des mythes canaanéens et babyloniens), et que l'on acceptera le fait qu'en réalité, l'Homme est un fauve sanguinaire, constamment à la recherche d'une proie potentielle, à humilier, à frapper - voire à tuer (cf mon site la rubrique "Vive la charia").
On ne peut pas soigner les psychopathes, car ils ne sont pas malades.
Ce sont des personnes "à l'état naturel", qui ont, pour diverses raisons, échappé au conditionnement social.
Elles n'acceptent pas les règles de notre société occidentale (les freudiens diraient "la loi"), et aucun traitement ne les fera changer.
Il n'y a qu'une seule solution : rétablir la peine de mort.
*Blanche Wittman : Patiente favorite de J-M Charcot et héroïne d' Un tramway nommé désir.
Jean-Pierre Pagès-Schweitzer
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