mercredi 23 septembre 2009

Qui sont les ennemis de notre société ?

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Le philosophe Alain Laurent consacre un chapitre de son livre La société ouverte et ses nouveaux ennemis à ce qu’il appelle :
«Le nouvel ennemi majeur et autochtone…»

Il désigne ainsi ceux qui favorisent l’immigration de masse incontrôlée dans le but de déstabiliser notre société.

Voici la liste des « ennemis intérieurs » dressée par Alain Laurent :

Alain Laurent - La société ouverte

  • toute une nébuleuse d’associations ( « les » associations selon la bonne presse…)
  • se donnant pour vocation de défendre les droits de l’homme et les causes «humanitaires»;

  • la plupart des organisations syndicales ;

  • une fraction notable de la magistrature syndiquée ;

  • la grande majorité des enseignants (dont l’engagement peut se traduire dans les cours :
  • cf. Élèves sous influence de Barbara Lefebvre) et leurs syndicats ;

  • l’essentiel du haut et bas clergé de l’establishment intellectuel (en tête, les grands administrateurs de leçon de morale à la terre entière et des sociologues idéologiquement stipendiés) ;

  • la presse ;

  • les « people » du show-biz friands de pétitions et d’exhibitionnisme militant ;

  • bien des membres des hautes instances de la République : «observatoires», comités
  • et instituts divers, conseils censés rappeler le droit ou « hautes autorités »
  • telles que la HALDE ;

  • le monde de l’entreprise (soucieux de donner des gages de bonnes mœurs afin de restaurer son image auprès des jeunes générations), qui adhère de manière croissante à l’ardente obligation morale de promouvoir la « diversité », voire la « fierté d’appartenance » comme s’en enorgueillit l’une d’elles, en pratiquant la discrimination positive ;

  • une virulente extrême gauche radicale (d’obédience principalement trotskyste et «altermondialiste») ;

  • une gauche « humaniste » qui privilégie l’action psychologique et morale :
  • l’indignation vertueuse, la protestation accusatrice, la culpabilisation qui joue
  • sur les registres du compassionnel et de la mauvaise conscience ;

  • une droite républicaine qui s’est convertie aux mots d’ordre de la bien-pensance
  • par peur de passer pour « raciste » ;

  • au sommet de l’État, un Jacques Chirac passé expert dans le maniement de la langue
  • de bois du « dialogue des cultures » ;

  • son successeur Nicolas Sarkozy, devenu l’apologiste de la discrimination positive.

  • Selon Alain Laurent, le « sabordage » de notre société continuera tant que
    ces «ennemis autochtones» resteront aux postes de responsabilité.

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