mardi 17 avril 2012

PENETRATION




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Violences d’extrême-gauche : ni stratégie de la tension, ni stratégie de l’attention


Communiqué du 4 avril 2012

Violences d’extrême-gauche : ni stratégie de la tension, ni stratégie de l’attention

Depuis plusieurs semaines, les violences commises par des militants d’extrême-gauche à l’encontre des identitaires se multiplient.

Ainsi à Lyon comme à Bordeaux, à Toulouse comme à Paris, des commandos armés se sont attaqués à des locaux, des réunions, des manifestations ou même des militants isolés. Des militants d’autres partis ou de syndicats étudiants ont aussi été récemment pris à partie par ces mêmes milices anti-démocratiques.
Nous ne nous livrerons à aucun match, ni à aucun concours avec ces crétins. Tout d’abord parce que nous sommes les plus forts (si, si) et que nous en avons assez de leur courir derrière après qu’ils aient tenté de nous attaquer, et surtout parce qu’ils n’existent pas. Ils ne sont rien. Même sur le plan électoral, les voici totalement cannibalisés par un Mélenchon qui ira les offrir au PS social-démocrate au second tour.

Un peu à la manière des enfants et de leurs amis imaginaires, ces miliciens de la pensée unique se cherchent des ennemis imaginaires, de peur d’avoir à en affronter de réels : l’État ou le grand actionnariat sans frontières par exemple.

Souvent marginaux, animés par des réflexes tribaux, les auteurs des ces violences ne parviendront pas à nous entraîner dans leur spirale.

Ni eux, ni ceux qui dans les cénacles politiques plus institutionnalisés ou les couloirs de la magistrature se réjouissent de ces agressions et les instrumentalisent.

Nous sommes des militants révolutionnaires, ils ne sont qu’une scorie parmi tant d’autres de la société du spectacle.

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