PENETRATION
Violences d’extrême-gauche : ni stratégie de la tension, ni stratégie de l’attention
Ainsi à Lyon comme à Bordeaux, à Toulouse comme à Paris, des commandos armés se sont attaqués à des locaux, des réunions, des manifestations ou même des militants isolés. Des militants d’autres partis ou de syndicats étudiants ont aussi été récemment pris à partie par ces mêmes milices anti-démocratiques.
Un peu à la manière des enfants et de leurs amis imaginaires, ces miliciens de la pensée unique se cherchent des ennemis imaginaires, de peur d’avoir à en affronter de réels : l’État ou le grand actionnariat sans frontières par exemple.
Souvent marginaux, animés par des réflexes tribaux, les auteurs des ces violences ne parviendront pas à nous entraîner dans leur spirale.
Ni eux, ni ceux qui dans les cénacles politiques plus institutionnalisés ou les couloirs de la magistrature se réjouissent de ces agressions et les instrumentalisent.
Nous sommes des militants révolutionnaires, ils ne sont qu’une scorie parmi tant d’autres de la société du spectacle.
UNE AUTRE JEUNESSE
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