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Le combat des fils de Caïn | |
Tu fondras comme l’éclair sur tous les peuples qui t’agressent. Tes yeux seront sans pitié pour eux.Un article de François Célier. | |
http://www.libertyvox.com/files/Francois_celier_Le_combat_des_fils_de_Cain_LibertyVox_110906.mp3
Texte de l’enregistrement.
Conscient du peu de probabilité d’être lu par les Autorités Politiques de l’Union Européenne auxquelles je m’adresse, l’écho de cette missive peut néanmoins susciter quelque intérêt auprès de ceux qui vont la filtrer au passage d’Internet, puis la ranger dans le coffre à oubli des citoyennetés d’en bas dont je suis.
Caïn, fut le premier criminel de l’espèce humaine ayant conscience du bien et du mal. Après lui, au cours des millénaires et des civilisations successives, sa postérité se répandra jusqu’à nos jours. Il est remarquable d’observer que toutes nos aléatoires mutations historiques d’Empires, de Royaumes et de Nations demeurent profilées en type pyramidal, selon le schéma initial de ce premier meurtre matriciel. De lui seul déclineront toute exemplarité, puissance et modus vivendi par transmission psychogénétique, par mimétisme naturel et par diffusion didactique sur des peuples assujettis. Le Pouvoir d’autonomie politique, plus ou moins clérical dans l’ombre des clochers, temples ou mosquées, représentera une constante de l’Autorité dominante sur toute croyance relevant de l’attrait fétichiste idéologico-religieux du genre humain.
Peur sous-jacente de mourir idiot. Chaque génération engendrera des hommes éclairés par la lumière de la connaissance, bien que celle-ci comportât une face obscure, pour lutter contre le pouvoir des politiques. Ce dernier est fondé sur la violence criminelle, la ruse des traqueurs de tout opposant et le secret désir de revenir vers des antériorités primitives archaïques et omnipuissantes. De jure et de facto sera la contingence d’une lutte sans fin, se déroulant entre le bien et le mal, entre l’éthique de la vie et la culture de la mort, telle celle des islamikazes actuels.
En observant les domaines d’influences négatives et conflictuelles qui font trembler la peau du monde, cette lutte est foncièrement récurrente, quel que soit le degré de civilisation atteint. Si philosophiquement éclairé paraisse-t-il, seul un très faible pourcentage de personnes inclinent à se ranger loyalement sous la bannière du bien de son prochain. Métaphysiquement. Autrement dit, conscient d’être sous le regard de l’Eternel et d’agir au mieux de l’entendement de la Parole qu’il adresse patiemment aux hommes, par la torah et les évangiles. Par contre, un pourcentage infiniment élevé d’individus auto-suffisants, arrogants, verbeux ou vociférant, se vouent à la violence d’un pouvoir mortel, tels les amants d’un mal humain qui les ronge. Pris en sandwich entre ces deux rapports disproportionnés, d’innombrables pleutres et passifs sont terrés en eux-mêmes. Quand bien même s’estimeraient-ils gens de bien, leur lâcheté à ne rien dire de la criminalité qui les environnent font leur indignité. A l’étalon de mesure biblique, ils se mettent hors-la-foi et l’espérance, minés par le ressentiment et la jalousie qu’ils manifestent, à l’encontre notamment d’Israël. Par exemple, en optant pour un pseudo peuple palestinien inventé de toute pièce par les services du colonel Nasser et par le KGB des années de 1960. Leur adhésion à cette énorme escroquerie intellectuelle et politique les conduit à se ranger sous la bannière de la désinformation, par amour du mensonge qui les habite. Ils savent fort bien que les juifs, dont Jésus demeure l’excellence, sont les témoins gênants de l’existence de l’Eternel. Dès lors, ils se rangent, irrationnellement, comme étant de la postérité de Caïn. Celle-ci représente l’engeance majoritaire qui gangstérise le développement des sociétés contemporaines, gangrène et piétine sans vergogne toutes les pages historiques et géopolitiques valeureuses.
La première déficience de notre espèce provient du crime primordial (typologie de Caïn) ; la seconde, celle de l’appât du gain des couleurs de l’argent de Mammon qui le distribue aux cupides ; la troisième concerne le désir de corrompre tout ce qui est juste et méritoire ; la quatrième est le goût du secret et des manigances tissées à nœuds serrées. Ayant rejeté l’Eternel du haut des cathédrales de l’orgueil, des mosquées aux doctrines gothiques et des buildings contemporains crevant le ciel symboliques de Babel, d’arrogants bonimenteurs cathodiques Babéliens distillent des menteries à leurs audimats chloroformées. En fait, victimes innocentes ou complices, tous ont opté pour une autre paternité : celle du Malin, alias le Diable. Occultant sa nature meurtrière ; sachant qu’il ne peut supporter un iota de vérité, sa personnalité leur paraît appropriée à leurs appétences. Ainsi, sachant que le Malin profère le mensonge par sa seule respiration d’être, ses féaux ne sont pas sans ignorer qu’IL parle de sa propre essence. Au fond des consciences génétiquement altérées, personne n’ignore désormais qu’il est le Père du mensonge. Bref, il plaît au plus grand nombre. Par ce choix volontaire, ce joueur de flûte les oriente vers le monde de l’obscur. (2) Jean 8, 44
L’autonomie et la puissance du Pouvoir politique apparaissent prédominées par le crime. Très tôt, l’Eternel Créateur, qualifia Rois, Chefs d’Etats, Potentats et Tyrans de : Criminels ! Depuis lors, justifiant cet attribut tranchant, d’innombrables témoins s’empressent d’agir, à l’exemple d’Autorités criminelles comme modèles référentiels. Sans vergogne, ils dénaturent toute justice reposant sur le Droit naturel de la vie, jusqu’à parvenir à l’inverser : crimes rituels archaïques ; crimes de raison d’Etat (collatéralisés et cautionnés par des décrets et artifices spécieux) ; crimes d’honneur et d’horreur à l’encontre des femmes ; crimes de foi mystique (dédouanés par l’Eglise moyenâgeuse ou le Coran mahométan) ; crimes conceptuels d’intellectuels schizophrènes par livres rouges ou verts-croissants d’idéologies sanguinaires. Ils en fut toujours ainsi pour les adeptes de croyances aux dominations de dieux mythologiques ou de dieux vivants. Mages et Mystères, Pharaons et Califes, Führers imprécateurs et dictateurs tyrannosaures.
Une mondialisation politico-économique de la planète s’ordonnance sous nos yeux. Bien qu’ils soient rarement entendus, il y eut toujours des hommes vigilants et patriotes pour dénoncer la mise en pièces des anciennes nationalités et identités culturelles. Ils nous alarment sur cette planétisation forcée de populations vouées à la soumission d’un homme fort qui apparaîtra tantôt, selon les Ecritures bibliques ou coraniques (Califat mondial). Ils discernent les manœuvres d’universalisation matérialiste, technologique, culturelle et politique (ou de jihad totalitaire), consistant à faire céder tout barrage de protection frontalière et identitaire, par dislocation et néantisation des sociétés traditionnelles, faisant passer ce grand œuvre d’homogénéisation pour une nécessité évolutionniste. Par ailleurs, dévoués à cette tache grandiose, les agents du mal sont légions. Sur toutes les contrées et villes qui aspirent à s’édifier en sociétés humanistes, par des agissements criminels, elles influencent les fonctionnaires corrupteurs en place et s’emparent progressivement de tous les leviers de commandes. Stratèges politiciens, propagandistes et mafieux en connivence, ils planifient leur volonté dominatrice en l’instaurant par le puissant levier de la peur dans les consciences citoyennes craintives ou affaiblies. Le marketing d’idéologie consumériste ou technicienne des après-nous le déluge (ou islamiste des sans-fou-la-mort), orchestré par les médias et leurs politiques de couards, amènent les peuples à se combattre sans nécessité ni espace vital à conquérir. C’est pourquoi il est primordial de livrer combat contre le Malin, cet invisible Janus et son double, le maître du mensonge. C’est pourquoi il est urgent de le débusquer des cercles politiques les plus corrompus, de les assigner au tribunal de la conscience publique internationale.
Nul n’est à l’abri de ces légions. David, le berger qui devint un roi exemplaire, agréé de l’Eternel, vit cet esprit criminel œuvrer en lui-même... L’esprit criminel de Caïn s’étant emparé de sa conscience (désactivée par le désir de la femme d’un de ses officiers) l’entraîna à commettre un acte meurtrier. En dépit de son réel et profond repentir, son châtiment fut terrible, jusqu’à vouloir s’ôter la vie. Il ne fut gracié qu’in extremis. Indépendamment des langues boiteuses et des esprits tordus des politiciens, il convient de rappeler que la gestion d’une nation doit toujours se porter sur les actions, l’équilibre, le développement de ses rapports internes ou externes de sa société. Correctement pratiquée, la politique doit s’exercer pour tout ce qui a trait à une somme d'individualités comptables et identifiées. Son principal exercice demeure une gestion théorique la plus équilibrée qui soit de la cité, en tenant compte des impondérables conflits, cataclysmes naturels ou technologiques, famines endémiques et autres fléaux imprévisibles. La politique est un exercice à haut risque.
La deuxième déficience du profilage humain depuis Caïn fut l’esprit de corruption, des mœurs et de l’intellect, qu’il soit laïc ou clérical. Dans le défunt XXème siècle, nous assistâmes à la chute vertigineuse de tous repères éthiques et moraux. Les silences plombés qui prévalaient sous Vichy, révélèrent qu’une haine profonde dévorait l’esprit des élites intellectuelles franco-allemande… De nos jours, beaucoup d’intellectuels, universitaires, écrivains, chroniqueurs, lauréats de Prix Nobel et journalistes continuent de cautionner les maux protéiformes de la planète. La langue (le verbe) a le pouvoir de la vie et de la mort (Bible et Torah). Que nul n’oublie jamais à quel point les intellectuels occidentaux sont entachés. Ils ont du sang juif, tziganes et autres identités humaines inscrit dans leurs mains et de leurs écrits. A priori, il semblerait que l’esprit de la corruption soit nécessaire pour conquérir, garder ou se maintenir au pouvoir. Or, les textes anciens nous rappellent que le pouvoir corrompt qui que ce soit, même des hommes d’exception. Se livrant à leur nature de n’écouter que le doute mensonger qui les habite : « Dieu a-t-il dit ? », les hommes de pouvoir sont donc amenés à contester le Créateur et sa Parole.
Nos sociétés empiriques sont toutes empreintes d’un esprit de corruption ruisselant naturellement du haut des pyramides sociétales vers les petites gens d’en bas. Parfois un homme-roi, Chef d’Etat ou de gouvernement s’insurge contre lui-même et les mœurs qui l’environnent. Dans un sursaut de lucidité contre l’odeur du mensonge qui l’infecte, il se dresse en se disant : J’agirai désormais en droiture de cœur contre tout germe corrupteur, non par ma seule conscience, génétiquement entachée, mais avec la force de mon intelligence et de ma volonté. Las, pour quelle raison agiraient-ils contre leur nature contaminée ? Seule une « nouvelle naissance » y parviendrait. Or celle-ci procède de Dieu.
La troisième déficience à considérer serait celle du pouvoir de l’argent. Il est reconnu, par l’Histoire que celui qui est amoureux de son coffre-fort, découvre un jour ou l’autre l’abyssale insatisfaction occasionnée par l’amas de ses biens. Il sait qu’il ne sera jamais aimé en retour par l’affection sincère et la loyauté de ses proches. A contrario, celui qui, s’étant enrichi par ses talents et ses efforts méritoires, offrirait ses biens et son savoir à des œuvres d’édification et de compassion pour le plus grand nombre, les consacrerait comme une offrande agréée par l’Eternel. Il réintègrerait, peut-être à son insu, alors la lignée de l’esprit d’Abel.
Homme de foi ou incroyant, la seule attitude estimable d’un homme d’aujourd’hui consiste à faire face aux mensonges, à la désinformation, aux propagandes idéologiques, aux intimidations sur sa vie, au chantage à la répudiation des siens, aux calomnies médiatiques et aux atteintes à son honneur. L’Eternel exhorte chacun de nous à celle d’un combat frontal : vérité contre mensonges, intégrité contre cupidité, courage contre lâcheté et plus encore, dénoncer le fléau de l’indifférence et de la passivité. L’Eternel Je Suis sera toujours aux côtés de ces hommes-là.
Après avoir examiné les affects meurtriers, l’inclination à corrompre et celle de l’appât du gain, cette réflexion aborde une autre défaillance des fils de Caïn, sommés de combattre pour leur survie anté et post diluvienne parmi des populations archaïques, selon la bible. Elle se définit par la ruse du chasseur et le goût du secret pour acquérir et centraliser du pouvoir sur des tribus humaines croissantes en nombre. Outre les Chefs d’Etats, de Gouvernements et des Ministres des Armées de nombreux pays démocratiques occidentaux, cette réflexion s’adresse également aux Directeurs, Patrons et Agents des Services Secrets des 193 nations onusiennes. Par les textes des patriarches hébreux, nous savons qu’il n’y a rien de secret qui ne doivent être connu et c’est heureux, car innombrables sont les conséquences dévastatrices qui en découlent.
Depuis les premiers combats des fils de Caïn, les guerres feutrées que se livrent continûment les armées de l’ombre, avec leurs dizaines de milliers de fonctionnaires et d’agents de terrains se prévalant d’être couverts par le sceau du secret, sont continues. Ces compagnies et groupes d’intervention opérationnelles : espionnage, infiltration, extraction d’agents, kidnapping d’opposants, intoxication, missions de tueurs effaceurs d’existences, etc. Tous sont sélectionnés et entraînés à être des armes de guerre redoutables, programmées à d’infinies malignités et dénuées d’état d’âme. Méconnues du public, ils forment les colonnes vertébrales invisibles des Pouvoirs en place. Ils sont la trame discrète de services-actions généralement inavouables. Objets de puissance et d’absolution politique, leurs actions d’ingérences préventives et sécuritaire, impliquent toujours la déstructuration psychologique de leurs victimes. En quelque sorte, ils constituent l’armature cachée de la gouvernance des Etats. Sans leurs œuvres inavouables, point de puissance !
Maudit soit celui qui frappe en secret ! Nous informe le psalmiste. Cette parole ne se trouve pas dans l’informelle déontologie des Services Spéciaux dont les bureaux et officines, nichés à l’écart ou dans les sous-sols des Etats, sont généralement connus sous la modeste appellation de Services de Renseignement Quel humaniste, philosophe ou historien pourrait rendre compte en vérité du nombre d’interrogatoires, de tortures effroyablement variées et de crimes abominables qui s’y commettent depuis des siècles, jours et nuits, encore et toujours, sous prétextes de sacro-saintes raisons et secrets d’Etats ? Livres, films, vidéos et séries TV ayant traits au monde de l’ombre ont pour objet de distraire et de banaliser l’inhumanité des pratiques de cette engeance professionnelle, parfois héroïsée par des stars. N’avons-nous pas le devoir de savoir puis d’informer les innombrables victimes potentielles (que quiconque peut devenir), sur l’extrémisme silencieux, les attributs et les capacités de nuisances des pouvoirs occultes du Renseignement ? Cautionnés et agréés par leurs ministres de l’Intérieur ou des Affaires Etrangères, tous roués dialecticiens inférant sans sourciller qu’il y ait parfois d’inéluctables dommages collatéraux. Une formule aussi fourbe que celle de Dieu reconnaîtra les siens. A ma connaissance, le seul homme spirituel agissant en secret sans être désavoué par l’Eternel fut Joseph d’Arimathée, homme juste et courageux qui, dans un contexte d’agitation politique due à l’occupation romaine, était disciple de Jésus en secret (Jean 19.38). Il serait le modèle à suivre pour des millions de disciples contemporains particulièrement menacés en pays musulmans et autres despotismes idéologiques.
La déstructuration méthodique du Droit International, les fadaises de non ingérence, les conventions Genevoises, les fallacieuses autodétermination des peuples, l’Eurabia islamique, les dérégulations financières et commerciales, les propagandes d'intoxication des idées, les banalisations de la torture, les mise en place de régimes policiers, les lois d'exception, la surveillance numérique, etc., sont déjà les modus vivendi des régimes de demain. Toujours plus restrictifs, toujours plus féroces. Par ailleurs, la peur du terrorisme mondial, instauré depuis le 11 septembre 2001, ouvrit une voix royale à l'accoutumance de lois liberticides, à l’implication des armées dans le maintien de l'ordre civil ; à l’état d’urgence aux attentats majeurs ; à la déstabilisation de régimes existants par des insurrections et des révolutions orientales folkloriques bien que sanglantes. Elles sont stratégiquement préparées, accompagnées de propagandes violentes, jusqu’à ce que s’effondrent les gouvernements mous et collaborateurs de l’Occident. Tous ces évènements orchestrés dans l’ombre conduisent à une rupture inéluctable de l’équilibre géopolitique et économique du monde actuel. Préparé depuis le dernier centenaire, planifié par d’éminents stratèges d’un chaos préliminaire, l'établissement d’un Nouvel Ordre Mondial, du genre One World Government, se met en place. Serait-il l’ultime projet d’un messianisme laïc fondé sur le rationalisme dominateur de la pensée de Caïn ? Il se heurtera de plein fouet à d’autres visions eschatologiques.
Pour la recherche égoïste du profit individuel et sociétal, le capitalisme libéral est, par achèvement des anciens privilèges, un propagateur idéal pour une humanité devenue productrice et consommatrice. La morale économique des dirigeants a capitulé devant la loi du marché et la disparition des nations prochaines. En attendant, il ne reste pour perspective de fin de partie qu’une sorte de libéralisme économico-politique à dents de requins, prélude à l’apparition de l’homme fort d’une gouvernance mondiale. Dans notre époque de grands troubles et de confusions géopolitiques, face à cette réorganisation d’un nouvel agencement planétaire, le seul honneur, la seule dignité, le seul patriotisme d’un homme juste de notre temps consiste à affronter les mensonges d’Etats, la désinformation des médias, les propagandes idéologiques, les intimidations, le chantage et les menaces sur la vie. En fait, il s’agit d’un combat frontal sans merci : vérité contre menterie officielle et délation ; éthique et intégrité contre cupidité et domination ; courage contre laxisme et lâcheté et enfin, contre l’indifférence et la passivité ! Ce combat doit être culturel, politique, militaire, et spirituel pour ceux qui en ont conscience dans leur esprit.
Par sa transcendance, l’aune du seul critère de vérité estimable se trouve dans Genèse 12:3 : « Je bénirai ceux qui te béniront, et je maudirai ceux qui te maudiront ». Cette parole humiliante pour les puissants concerne un minuscule pays providentiellement rétabli et restauré après 2000 ans d’errance et de persécutions : Israël. Il y a donc bénédiction pour les nations qui le respecteraient et malédiction pour les autres… Il est vrai que ceux qui ont déjà éjecté l’Eternel Créateur de leurs pensées, rejettent d’autant plus la renaissance de ce territoire par lequel Il s’est révélé au monde par ses porte-paroles prophètes. Aussi, les puissants contestent-ils agressivement ce morceau de terre et de même contestent-ils le nom d’Israël (même les chrétiens traditionnels s’en sont accaparés en s’affublant de Nouvel Israël). Plus que la notion morale de Bien et de mal, de vrai et de faux, de juste et d’injuste, il fallait ce singulier étalon de mesure pour être perçu en toutes langues et cultures. Celui de bénédiction ou de malédiction semble ad hoc pour les nations et leurs sujets. D’où jalousie et déchaînement de haine à l’encontre de la renaissance de l’ancestrale terre israélienne et du microcosme international que représente sa population hébraïco-juive. Il est clair que nous sommes parvenus à une époque tellement troublée que nous devons prendre position par rapport à cette question : bénédiction ou malédiction ? Il est impératif de nous situer personnellement selon cette injonction biblique radicale.
Israël… personne ne reste indifférent à ce nom : les hommes des nations prennent des positions pour ou contre son existence, c’est-à-dire pour ou contre les promesses que le créateur du monde veut réaliser à son égard. Concernant le peuple hébreu d’hier comme les juifs d’aujourd’hui, rien de ce qui leur arrive n’est insignifiant. C’est la raison profonde pour laquelle des hommes de bonne volonté, appelés à devenir des justes, se sont levés par le passé et se lèvent toujours plus nombreux de nos jours, pour la justice et la lumière de cette vérité. Ce pays minuscule est plus que jamais menacé à l’échelle de l’alter mondialisme et de son gauchisme inadapté qui subsiste. Néanmoins, il faut reconnaître que l’évolution de la politique israélienne, par sa gouvernance par trop démocratique, n’est pas sans défaut ni fautes de jugements. Israël n’est pas en phase avec ce que furent les anciennes ripostes, du temps des patriarches et des prophètes hébreux. Trop d’accommodements, de complaisances et de singeries de la danse vicieuse des nations politico-onusiennes ; trop de compromissions par son vouloir d’être un chantre en démocratie ; trop de tolérance laxiste et d’arrangements à l’égard de sa cinquième colonne intérieure (hostilité arabe, gauchistes et antisionistes de tous poils) ; manque de vision générale sur son avenir (en défaut de Thora) ; de scénarios d’anticipations géostratégiques, etc. Hors contexte d’époque et de mœurs, sans pour autant les cautionner (quoique ?), il conviendrait à ses guides politico-militaires de réexaminer les exhortations du Seigneur des armées d’Israël en temps de guerre. Or, Israël est en guerre.
Les prophètes hébreux rappelleraient aux dirigeants de jadis comme aux généraux de Tsahal et du Mossad d’aujourd’hui une lapidaire exhortation à l’intransigeance : Tu fondras comme l’éclair sur tous les peuples qui t’agressent. Tes yeux seront sans pitié pour eux ; tu n’écouteras point leurs stratèges politiciens, leurs énièmes plans de trêves mahométanes, leurs pseudo paix de papier d’Oslo, de Genève, de New York, de Paris ou de Washington, de l’Union Européenne, de l’ONU ou du Vatican ; ce serait un piège pour toi car ce ne sont que machiavéliques sables mouvants de propagandes intéressées. Peut-être diras-tu en ton cœur, ces peuples et leurs armées coalisées sont cent fois plus nombreux que moi. Comment parviendrai-je à leur résister, à les contrer et les combattre ? Ne les crains pas, souviens toi de ce que je fis à pharaon et à toute l’Egypte, évoque les grandes épreuves subies par ton peuple et des hauts faits surnaturels que tes yeux ont vus, miracles et prodiges à main forte et bras étendu par lesquels, moi le Seigneur ton Dieu t’a délivré. Ainsi ferais-je encore à tous les peuples que tu pourrais craindre. Deut. 7-16/19 (texte paraphrasé).
Pour ceux qui sont en alarme, étant donné l’ampleur et la force des torrents de mensonges qui déferlent dans le concert des nations à propos de Palestinisme, d’éradication d’Israël, de jihad planétaire et de crise mondiale… propice au réaménagement du monde, ils doivent revoir leur entendement de l’actualité, déguiser leur esprit à la résistance et, comme l’Ecriture les enjoint, sans hésitation ni débat d’âme, se revêtir de toutes les armes de l’esprit, s’engager corps et âme dans le combat, sachant intimement qu’ayant tout sous son contrôle, le Seigneur des Armées les couvre de sa main. C’est pourquoi il convient d’être au clair sur l’importance de l’enjeu des batailles à livrer, d’anticiper les risques et leurs conséquences. Notre attitude, notre détermination et l’évidence de nos convictions actées, constitueront un témoignage à même de galvaniser d’autres frères d’armes et d’esprit à nous rejoindre.
Les fronts sont nombreux : l’universalité du mensonge, les trahisons, les pièges et les menaces multiples. Dans la pratique de l’action de résistance, l’Histoire et la mémoire de nos aïeux nous rappellent que l’Eternel ne jette pas ses fils au feu des combats sans avoir été préalablement entraînés, sans avoir constaté par eux-mêmes le recours à sa force. Le salut vient des juifs ! Jean (4 :22) nous le rappelle sans détour. Quelle terrible ulcération cette parole doit-elle produire sur la peau et les neurones des anti-juifs et des antisionistes et des assoiffés de pouvoir. Bien que n’étant pas juif moi-même, par la grâce de l’Eternel, je m’honore d’être Pasteur sioniste et, pour l’amour de Sion, je ne me tairai point.
© François Celier, Pasteur et écrivain pour LibertyVox
Abel et Caïn. Cathédrale de Salerne. Source image : http://www.artbible.net
Notes :
(1). Allemagne (Christian Wulff et Angela Merkel) ; Bulgarie (Gueorgui Parvanov et Boïko Borisov) ; Autriche (Heinz Fisher et Werner Faymann) ; Belgique, (Roi Albert II et Yves Leterme) ; Chypre (Dimitris Khristofias) ; Danemark (Reine Margrethe II et Lars Lokke Rasmussen) ; Espagne (Roi Juan Carlos Ier et José Luis Rodriguez Zapatero) ; Estonie (Toomas Hendrik Ilves et Andrus Ansip) ; Finlande (Tarja Halonen et Mari Kiviniem) ; France (Nicolas Sarkozy et François Fillon) ; Grèce (Karolos Papoulias et Georgios Papandréou) ; Hongrie (Pal Schmitt et Victor Orban) ; Irlande (Mary McAleese et Brian Cowen) ; Italie (Giorgio Napolitano et Silvio Berlusconi) ; Lettonie (Valdis Zatlers et Valdis Dombrovskis) ; Lituanie (Dalia Grybauskaité et Andrius Kubilius) ; Luxembourg (Grand-Duc Henri et Jean-Claude Junker) ; Malte (George Abela et Lawrence Gonzi) ; Pays-Bas (Reine Beatrix et Mark Rutte) ; Pologne (Bronislaw komorowski et Donald Tusk) ; Portugal (Anibal Cavaco Silva et José Socrates) ; République tchèque (Vaclav Klaus et Petr Necas) ; Roumanie (Traian Basescu et Elmil Boc) ; Royaume-Uni ( Reine Elisabeth II et David Cameron) ; Slovaquie ( Ivan Gasparovic et Iveta Radicova) ; Slovénie (Danilo Türk et Borut Pahor) ; Suède (Roi Carl XVI Gustaf et Fredrik Reinfeldt) ; SuisseAzerbaijan (Micheline Calmy-Rey) et du Vatican (Benoît XVI, Pape).
(2) « Vous avez pour père le diable, et vous ne voulez accomplir les désir de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu’il n’y a pas de vérité en lui. Lorsqu’il profère le mensonge, il parle de son propre fond ; car il est menteur et le père du mensonge » Jean 8, 44
(3) Maktab al-Khadamät (Afghanistan) ; South Africa Secret Service (Afrique du Sud. SASS) ; Département du Renseignement et de la Sécurité (Algérie. DRS) ; Bundesnachrichtendienst (Allemagne. BND) ; Al Mukhabarat Al A’amah (Arabie Saoudite) ; Australian Secret Intelligence Service. ASIS (Australie) ; Service Général de Renseignement et de la Sécurité (Belgique. SGRS) ; Agência Brasileira de Inteligência. ABIN (Brésil) ; Direction Générale de la Recherche Extérieure (Cameroun DGRE) ; Service Canadien du Renseignement de Sécurité (Canada. SCRS) ; Guojia Anaquanb (Chine) ; Departamento Administrativo de Seguridad (Colombie. DAS). Agence nationale de renseignements (Rép.Dém. du Congo. ANR) ; National Intelligence Service (Corée du Sud. NIS) ; Departemento de Securidad del Estado ( Cuba. DES) ; Direction National de Inteligencia ( République Dominicaine. DNI) ; Gihaz al-Mukhabarat al-Amma (Egypte. DRG) ; Centro National de Inteligencia (Espagne. CNI) ; Central Bureau of Investigation (Etats-Unis. CIA) et Federal Bureau of Investigation (FBI) ; Direction Générale de la Sécurité Extérieure (France. DGSE) ; Central Intelligence Agency (Inde. CBI) ; Amniat-e Vezarat-e-Ettelaat Va (Iran. VEVAK) ; espionnage hors frontières d'Israël, Mossad ; contre-espionnage intérieur (Shin Beth, ou Shabak) ; Naicho (Japon) ; Dairat al-Mukhabarat al-Ammah (Jordanie) ; Jamahiriya el-Mukhabarat (Libye) ; Central Intelligence Service. CIS (Madagascar) ; Renseignements Généraux Marocains. RG (Maroc) ; Forsvarets Etterretningstjenest. FE (Norvège) ; Inter-Services Intelligence. ISI (Pakistant) ; Inlichtingendienst Buitenland. IDB ( Pays-Bas) ; Agencia Wywiadu. AW (Pologne) ; Security Service. MI5, SIS ou MI6. (Royaume-Uni) ; Federalnaïa Service fédéral de sécurité, Sloujba Bezopasnosti. FSB et MVD. (Russie) ; Militära Underrättelse – och Säkerhetsten. MUST. (Suède) ; Nachrichtendienst des Bundes. NDB. (Suisse) ; Idarat Al-Mukhabarat Al-Ama. (Syrie) ; Millî Istihbarat Teskilati. MILT. Turquie ; Ex-La Sapinière (Vatican) ; Direccion de los Servicios de Intelingencia y Prevencion. DISIP (Venezuela). Liste partielle et non exhaustive, naturellement.
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