dimanche 21 novembre 2010


De jeunes Officiers Français veulent
balayer la racaille avec des pelotons blindés


Au moment où ces lignes sont écrites, la France connaît une de ses plus importantes crises sociales.

Malgré le vote "solennel" de la loi sur les retraites par les deux assemblées, de manifestations en "opérations coup de poing", la flamme de la révolte de la majorité des citoyens vacille mais ne s‘éteint pas.

Personne, à ce jour, ne peut prévoir jusqu’où nous mènera le divorce entre l’État et le peuple, mais aussi la cassure entre les directions syndicales et les travailleurs sur le terrain.


Blindé du 1er Régiment de Hussards Parachutistes

Comme si les enjeux réels n’étaient pas suffisamment affectés par les barbouilleurs des médias affamés de déclarer, chaque jour, que "c’est la fin de la grogne" ; les clameurs de la colère des cortèges se trouvent polluées par le vacarme de brigands casseurs qui vont, pour certains, jusqu’à brandir sur nos monuments des drapeaux étrangers où le vert de l’Islam côtoie le croissant.

Pour une fois, si les informations nationales taisent cette forfaiture, les journaux régionaux osent enfin non seulement donner les informations, mais aussi publier les photos.

De même des rapports alarmants de la DCRI indiquent que, mimant une Intifada fantasmée, les "jeunes" ponctuent "d’Allah Akbar" leurs agressions, leurs pillages et leurs jets de matériau sur les forces de l’ordre.

D’autre part, de jeunes officiers font part de leur volonté "de balayer la racaille avec des pelotons blindés, avant de partir pour l’Afghanistan", pour ne pas laisser à l’arrière une "cinquième colonne" de l‘AQMI parrainé par Ben Laden.

Nous le voyons, nous sommes au comble de l’effervescence et de la confusion. A ce stade, il convient de préciser et de rappeler les réalités.

La guérilla urbaine n’est pas menée par les séides d’Al-Qaida mais par des "sauvages urbains", organisés en mafias ethniques, formes visibles de regroupements qui reconstituent les noyaux tribaux ancestraux.

La cause en est désespérément simple : la saturation de l’environnement où ils évoluent (la cité : pas assez d’espace ; le chômage : pas assez de ressources); la destruction systématique de la spécificité française (les fondements de 1789 et du CNR) qui les poussent, à chaque coin de rue à la prédation primaire. Cependant la nature a horreur du vide sidéral et de l’inorganisation.

Tous ceux qui travaillent sur et dans les banlieues savent que ce "lumpenprolétariat" est la proie prioritaire des musulmans fondamentalistes. Tant que la casse se fait sur les boutiques et le mobilier urbain cela indique que le niveau idéologique religieux reste bas mais ignorer ou faire semblant que, dans le même temps, se préparent des troubles insurrectionnels bien plus graves que n’importe quelle grève franco-française, c’est un aveuglement impardonnable pour chaque patriote soucieux de la pérennité de la Nation.[...]

Le père fondateur de notre Nation s’appelle Clovis et il nous enseigna pour toujours à Soisson qu’une humiliation peut se payer par une tête tranchée fusse un an plus tard.

La vengeance est un plat qui se mange froid.

Jean-Marc Desanti
Source : Armée.com

Ndlr. "Dans les Paras et à la Légion, on ne pleure pas ses Morts : on les venge !"... paroles d'initiés.

(legaulois.info)
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