lundi 2 décembre 2013

RACHED GHANNOUCHI

Lundi 2 décembre 2013




Fatah-Nazi
Il est douteux que les électeurs tunisiens d’Ennahdha, et certainement de nombreux tunisiens, eussent été choqués de découvrir le passé collaborationniste et nazi
 de la Confrérie des Frères musulmans d’Egypte dont
 le terroriste Rached Ghannouchi est un des principaux
 dirigeant 

L’antisémitisme, un pilier de l’islam et un facteur de sympathie pour le nazisme

Car il est de tradition, en Tunisie comme dans tous les pays musulmans, d’entretenir une sorte de culture antisémite qui puise ses sources dans le Coran lui-même et les Hadiths, sur laquelle les classes politiques ont greffé la cause palestinienne.

Comme si l’antisémitisme était un pilier de l’islam et un facteur de sympathie pour le nazisme. Et comme le faisait remarquer Boualem Sensall à propos des liens troubles entre le philonazisme et la haine du juif chez la majorité des musulmans, « il y a des parallèles dangereux qui pourraient me valoir des ennuis » suite à la publication de son célèbre roman « Le village de l’Allemand* » ou’ il décrit l’existence de cette parenté idéologique entre l’islam et le nazisme.

Il n’y a rien d’étonnant à ce que plusieurs dignitaires nazis aient trouvé refuge au Moyen Orient, principalement en Egypte, et que beaucoup d’entre-eux se soient converti à l’Islam.

Il n’est pas superflu de se demander si Hitler ne s’était pas inspiré du Coran pour la rédaction de son torchon, tant le nazisme semble être un pur produit de l’islam dans sa vision apocalyptique, génocidaire, et raciste du monde.

Que l’islamisme, l’islam fondamental opposable à tous les musulmans, se soit rallié au nazisme en 1939-45, cela n’est qu’un aboutissement logique des choses. Il ne s’est d’ailleurs pas contenté de se rallier au nazisme, il s’est fondu dans son corps pour devenir une des multiples têtes de l’hydre nazie.

Mus tous les deux par les mêmes desseins hégémoniques pour imposer au monde un nouvel ordre, fondé sur la suprématie et la pureté absolue de leurs origines et de leur sang, le nazisme voulait édifier un Reich réservé aux bien nés aryens, l’islam une Oumma réservée aux fidèles musulmans.

Régner sans partage sur le monde, le soumettre à la dictature de leur idéologie, le nettoyer de ceux qui ne possèdent pas leurs traits, ou ceux susceptibles de contrarier leurs projets de conquête du monde.

L’enrégimentement des islamistes dans les corps des Waffen SS est la parfaite illustration de la convergence entre la pire idéologie politique de l’histoire universelle et l’allégeance inconditionnelle du Mufti al Husseini, un des membres éminent de la confrérie des Frères musulmans avec Saïd Qutb et Hassan al Bana, grand-père de Tarik Ramadan,

le caméléon et VRP de l’islam « modéré ».
L’islamisme, qu’il soit djihadiste, wahhabite, salafiste, sunnite ou chiite, ou encore qutbiste, prospère sur le même terreau nauséabond que le nazisme : la haine du Juif, raison essentielle de leur idéologie (Kuntzel : Jihad et haine des Juifs : islamisme, nazisme et racines du 11 septembre).

 

Leur stratégie politique actuelle, apparaitre comme un banal acteur dans le processus démocratique actuel en Egypte ou en Tunisie, est un leurre. Leur but reste la destruction de l’Etat juif d’Israël et l’islamisation du monde, qui passe d’abord par la ré-islamisation de leur propre société.

Le « processus démocratique » sous le haut patronage d’Hussein Obama dont l’attitude bienveillante à l’égard de l’islam est inquiétante et ambigüe, laisse perplexe quant aux capacités des islamistes d’œuvrer pour un idéal démocratique, alors que la démocratie est jugée comme un sacrilège par le dogme de l’islam, ne serait-ce que par sa nature humaine, alors que seule la loi d’Allah doit gouverner la vie des hommes. Ses origines non musulmanes sont impures, imparfaites.

En se voulant parfaits comme leurs frères idéologiques nazis, les musulmans n’accepteront jamais des systèmes politiques qui ne portent pas la signature de l’islam. Ils ne suivent qu’une seule feuille de route et ne peuvent pas appliquer de canevas qui ne soit pas conforme aux prescriptions de l’islam, et en parfaite adéquation avec le Coran, les Hadiths et la Sira.

Dans ces pays – comme en Allemagne nazie autrefois – on assiste à la renaissance de l’islam fondamental que tout musulman doit suivre, défendre et propager. Quand les islamistes se réclament de l’islam, ils ne commettent aucune hérésie théologique ou dogmatique. Ils ne font que rappeler à leurs coreligionnaires qu’il n’y a qu’un seul islam. Ne pas s’y soumettre est passible d’apostasie. Un musulman est subordonné à l’islam dans tous les actes de sa vie sociale, personnelle et politique. Rien de ce qu’il doit faire et réaliser ne doit échapper au contrôle de l’islam. C’est pourquoi le vote « démocratique » ne doit avoir qu’un seul but : favoriser la main mise totale de l’islam sur la vie des hommes.

Comme l’ont rappelé les islamistes égyptiens et tunisiens, voter pour un parti qui ne prône pas les valeurs de l’islam, c’est voter contre l’islam

Le vote n’est donc rien d’autre que la manifestation d’allégeance à l’islam et le renforcement de son pouvoir sur la cité, un djihad par les urnes, pour les transformer ensuite, comme l’avait fait Hitler, en urnes des cendres de la démocratie.

Les islamistes sont obsédés par la renaissance de la splendeur fantasmée de l’islam, et rendre aux musulmans ce qu’Allah leur a promis : la gouvernance de l’univers dont les juifs – et les autres – les ont spoliés. Plutôt que de faire ressusciter le savoir et l’éducation, ils optent pour la voie de la violence et l’endoctrinement.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info
 **************************************

Aucun commentaire: