mardi 29 juin 2010

RIEN DE POSTE AUJOURD'HUI : J'ETAIS EN GARDE A VUE !




Des policiers du Commissariat de la rue du croissant (ça ne s'invente pas...), IIème Ardt de Paris, sont venus, ce matin, m'interpeller à mon domicile, et m'ont mis immédiatement en garde à vue.



Et cela, à la suite d'une énième plainte déposée...rue du croissant, par mon voisin, un certain Mohamed BOULEDROUA, avec qui je suis en procès (de copropriété), depuis bientôt 17 ans.

C'est le commissaire en personne (Francis Vincenti), qui m'a reçu.

J'ai eu droit à la totale : On m'a pris tout ce que j'avais sur moi, y compris mes lunettes...et mes lacets (au cas où je serais suicidaire).

J'ai ensuite été pris en main par l'anthropométriste (néologisme), qui m'a photographié (assis sur une sellette, digne des plus beaux jours de la sainte Inquisition); puis, il a pris mes empreintes digitales -et palmaires.
Il a même failli me faire déshabiller...pour voir si je n'avais pas de tatouages.

Une fois ces "formalités" accomplies, on m'a enfermé dans une cage, avec des racailles toxicomanes.

Je n'ai vu ni avocat, ni médecin.

Mais venons-en à l'affaire elle-même, pour laquelle, vu mon manque de coopération, le Procureur a finalement décidé (par téléphone) de me renvoyer, à l'automne, devant la XVIIIème chambre correctionnelle.

Je n'ai jamais pu voir mon dossier.

On m'a indiqué que Monsieur BOULEDROUA m'accusait de lui avoir cassé la main (ou le doigt, ou le poignet ?), dans l'escalier de l'immeuble, lors d'une "visite de chantier", le mois dernier (29 mai), en présence de la Présidente du Conseil Syndical, Madame Bénédicte CORTES, ainsi que de l'ancien Président, Monsieur Jean-Pierre CAUMONT (mais la Police a refusé de me montrer leur témoignage...).

Monsieur BOULEDROUA aurait obtenu 30 jours d'ITT...mais je n'ai pas pu voir le certificat des urgences médico-judiciaires (j'aurais surtout voulu savoir à quelle date, il s'y est présenté).

Vous vous demandez probablement, chers lecteurs, ce qui peut bien motiver une telle malveillance, de la part du conseil syndical ?

La réponse est très simple : je viens d'assigner le Syndicat des copropriétaires, devant le TGI de Paris, pour la deuxième fois.
(j'avais obtenu, la dernière fois 50.OOOF de dommages-intérêts).

Motif: avoir cautionné des travaux entrepris dans l'immeuble par Monsieur BOULEDROUA, qui se prétend "Entrepreneur en bâtiment", alors qu'en réalité, il est "réparateur d'appareils éléctro-ménagers".

Devinez quoi ?

Je cherche un avocat (pénaliste) (me contacter à jpps1938@gmail.com).

Jean-Pierre Pagès-Schweitzer

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